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Onzième édition de « Je sais chanter » : La radio Bénin Culture favorise l’éclosion des nouveaux talents

La radio Bénin Culture a, depuis le 30 juillet dernier,  donné le top de la  onzième édition de son événement « Je sais chanter ». C’est à travers une cérémonie présidée par son promoteur, le professeur Nouréini Tidjani- Serpos  et ayant eu  pour cadre le  Centre Culturel de la  Fondation Panafricaine pour le Développement Culturel (FONPADEC).

« Je sais chanter » est une émission grand public initiée par la radio Bénin Culture (RBC) en partenariat avec le Centre Culturel de la  Fondation Panafricaine pour le Développement Culturel (FONPADEC). Elle consiste à  mettre en compétition, tous les mercredis, dans l’après- midi,  les jeunes vacanciers  de Porto-Novo et des communes environnantes dans les domaines de la musique, la danse, la récitation poétique, le théâtre et le conte.  C’est la tribune par excellence, a fait savoir le promoteur de la radio Bénin Culture et de la  FONPADEC, le professeur Nouréini Tidjani- Serpos, pour « l’épanouissement et la saine émulation » des aoûtiens de la capitale. C’est aussi une occasion, poursuit le professeur, où ils sont appelés à exhiber leur savoir- faire sur le plan culturel et  artistique.

Outre  cet objectif,  « Je sais chanter »,   constitue aussi  un creuset pour la promotion   des stars en herbe et  des artistes déjà  confirmés. C’est pourquoi, dans son discours de lancement officiel des manifestations relatives à la onzième édition qui prend fin le 17 septembre prochain, le professeur Nouréini Tidjani- Serpos   a  souhaité la participation massive des valeurs montantes de la culture béninoise.

Profitant de l’occasion, il  a évoqué   les raisons qui l’ont conduit à créer la RBC  et la FONPADEC en ces termes : « en créant ces  deux institutions, mon ambition est de promouvoir la culture béninoise, africaine  et celle  de la diaspora. Nous avons tous le devoir de promouvoir nos identités culturelles, étant donné que c’est cela qui fait notre fierté. Nous n’allons pas continuer de nous laisser abêtir culturellement. Non à la décalcomanie, non à l’acculturation. »

Cader E. Gbétablé

 

 

 

 

 

 

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