Approché, le samedi 06 décembre 2014, au terme de sa représentation M’appelle Mohammed Ali qui s’est tenue au Centre Artistik Afrika, dans le cadre de la 12ème édition du Festival International de Théâtre du Bénin (FITHEB), le comédien et metteur en scène burkinabé, Etienne Minoungou s’est dit satisfait de la tenue effective de la biennale. En dépit des difficultés, se réjouit le Responsable des Récrétrâles du Burkina Faso, le festival se déroule. Le FITHEB, dit- il, est un événement important qui ne doit pas être ‘’victime’’ des conflits qui règnent au sein des fils et filles du pays. Son vœu est que les Hommes de la chaîne de l’art scénique du Dahomey d’hier s’unissent autour de cet événement.
Lire ici un extrait de sa déclaration
« Je suis heureux que malgré les difficultés le fitheb continue de se tenir. Je crois que c’est un événement important. Tout mon souhait, c’est que les Béninois taisent leurs querelles et soutiennent le théâtre africain à travers les différents responsables à qui on confie le travail. C’est un combat pour le théâte. Ce n’est pas un combat pour un seul pays. C’est un combat pour l’acte théâtral qui est un acte de résistance, aujourd’hui, dans un champ de communication tous azimuts avec les nouvelles technologies. Ce que je souhaite, c’est que le Fitheb rassemble l’ensemble des Béninois. »
Esckil AGBO